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L’examen de l’oeil en Endobiogénie

En médecine classique, l’examen du patient ne comprend pas la recherche
systématique de deux signes cliniques au niveau de l’œil et de la région
palpébrale.

En Endobiogénie, l’observation de l’Hippus et des résultats de la percussion de
la glabelle sont des éléments nécessaires à une bonne information du système
nerveux autonome (SNA) et de certains neurotransmetteurs.

A l’examen clinique, l’hippus permet l’appréciation du couple Para/Alpha. Une
stimulation lumineuse de la rétine provoque ainsi une réponse parasympathique, contractant la pupille (Myosis). L’Alpha réactionnel va ensuite dilater la pupille (Mydriase).

On observe deux types de réactions :

  • Réponse augmentée de myosis et/ou mydriase → Augmentation des
  • réactions Para et/ou Alpha.
  • Réponse faible de myosis et/ou mydriase → Baisse de la qualité Para et/ou
  • Alpha, souvent associé à un terrain dépressif.

L’autre signe clinique connu en physiologie est la percussion de la glabelle, en
bas de la suture métopique ou frontale qui induit un réflexe fronto-orbiculaire.

En médecine dite « classique », ce signe traduit un réflexe du tronc cérébral.

En Endobiogénie, la réaction palpébrale supérieure et inférieure permet
d’évaluer la relance thyroïdienne (mesurée par la TRH, Thyrotropin-Releasing-
Hormone, ou Hormone Thyréotrope), ainsi que l’intensité des réponses
dopaminergique et sérotoninergique (graphique ci-dessous).

L’alpha central est associé à une activité dopaminergique importante,
cliniquement transcrite par des mouvements rapides de la paupière supérieure,
avec un terrain associé à une capacité de planning
efficace.

L’alpha central est aussi associé à une réactivité noradrénergique importante,
cliniquement traduite par des mouvements rapides en flutter de la paupière
inférieure.

Le para central est associé à une réactivité sérotoninergique se traduisant par
des mouvements de la paupière inférieure plus rapides que la supérieure ; le
terrain associé à une tendance à l’inondation par les informations, d’où
planning inefficace.

Le béta central est associé à la réactivité TRH avec flutter prolongé des 2
paupières.

En conclusion, la réalisation de ces deux examens cliniques simples devraient
être enseignés et pratiqués systématiquement afin de mieux déterminer le
fonctionnement du SNA et la qualité réactionnelle des neurotransmetteurs, en
particulier la sérotonine et la dopamine.

Par le Dr. Catherine Bloch – 14 juillet 2020

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